Dépérissements
LutEnVi – Lutter contre l’enroulement viral de la vigne
Le projet LutEnVi a réuni vignerons, chercheurs et techniciens pour mieux comprendre et gérer collectivement l’enroulement viral de la vigne, une maladie impactant rendement et qualité.
Les recherches contre le court-noué avancent…
De 2020 à 2024, 13 partenaires du projet JaSympt ont exploré les jachères nématicides ainsi que d’autres axes (repos du sol, porte-greffes vigoureux…) pour retarder les contaminations par le virus du court noué (luzerne, sainfoin, trèfle…). Découvrez dans cet article le bilan de ces essais.
Cryptoblabes gnidiella : note de suivi de l’enquête 2024 auprès des viticulteurs
Nouvelle enquête réalisée en 2024 auprès de l’ensemble des viticulteurs des vignobles du pourtour méditerranéen permettant de cartographier le territoire sur lequel le ravageur Cryptoblabes gnidiella est implanté, d’évaluer les pertes de rendement qu’il entraîne et d’identifier les facteurs qui augmentent les risques de dégâts.
Séminaire de co-construction du PARSADA : les ravageurs émergents
Découvrez le programme du 2e séminaire de co-construction de la phase 2 du PARSADA sur les ravageurs émergents qui aura lieu le 20 juin 2025 à 8h00.
Séminaire de co-construction du PARSADA : Flavescence dorée
Découvrez le programme du séminaire de co-construction de la phase 2 du PARSADA qui aura lieu le 8 avril 2025 à 8h30 à INRAE de Bordeaux
Comment les techniques HTS permettent de mieux connaitre les virus de la vigne ?
Au LPA VitiVirobiome de Colmar sont utilisées les techniques HTS avec un objectif améliorer la qualité sanitaire des plants de vigne. Le point sur ces techniques de pointe.
Le coût économique de Cryptoblabes gniediella
Une enquête réalisée auprès de l’ensemble des viticulteurs des vignobles du pourtour méditerranéen permet de cartographier le territoire sur lequel le ravageur Cryptoblabes gnidiella est implanté, d’évaluer les pertes de rendement qu’il entraîne et d’identifier les facteurs qui augmentent les risques de dégâts.
Avant-Propos
Le dépérissement est un phénomène aux causes multiples. Les maladies du bois, les viroses et autres causes biotiques en font partie, mais la réponse de la vigne et son comportement dans son environnement (climat, sol, pratiques culturales, système technique de l’exploitation viticole) font aussi partie des facteurs de dépérissement. La recherche-expérimentation doit investiguer ces différents domaines. Un lien fort avec l’agronomie est ainsi explicitement recherché (élaboration du rendement, mécanismes conditionnant la longévité, fonctionnement du sol) mais aussi avec les sciences économiques et sociales (déterminant en amont ce contexte).